dissabte, 28 de gener del 2017

Les premières semaines, les premières impressions

La deuxième partie de l’échange a commencé et pendant les trois prochains mois, dans ce blog, je vais vous raconter toutes mes expériences que je vivrai ici, au Québec.

J’ai beaucoup de choses à expliquer sur ces premières semaines, je ne  sais pas par où commencer…


Samedi le 14 janvier,, je me suis réveillée à cinq heures du matin pour aller à l’aéroport où j'ai dit au revoir à mes parents, ma soeur et mon petit frère. Après, j’ai retrouvé les autres catalanes qui font le même échange avec qui j’ai partagé ma nervosité.




Le voyage a été long mais il a passé assez vite. À mon arrivée, j’ai donné un gros câlin à Élisabeth. Ensuite, nous sommes allés dans l’auto et je me suis endormie, fatiguée du long voyage en avion. Quand je me suis réveillée, j’ai regardé par la fenêtre et toute la neige m’a  surprise : il y en avait partout, je me sentais comme dans un film américain.


Quand nous sommes arrivés à la maison, toute la famille m’a reçue avec beaucoup d’amour, ils m’ont tout de suite traitée comme un des leurs.

Dimanche, nous sommes allés, comme première activité, visiter l'Hôtel de glace. Comme vous pouvez le voir c’était spectaculaire.




La fin de semaine dernière, nous sommes allés faire du traîneau à chien! J’ai beaucoup aimé. Je n’aurais jamais imaginé faire du traineau à chiens un jour!! Après, nous sommes allés faire un tour de l’Île d’Orleans, la magnifique Île dont Sainte-Pétronille, le village où habitent les Galibois, fait parti.




Ici, au Québec, tout est différent de Sant Esteve: l’école, les gens, la manière de vivre et de faire les choses.

Les premières semaines à l'école se sont bien passées : beaucoup de nouveaux mots, beaucoup d’apprentissage. Beaucoup de présentations, beaucoup de nouvelles personnes avec qui parler, faire des guerres de boules de neige et manger de la poutine. Mmm… j’ai déjà eu la chance de goûter la fameuse poutine






Mon échange ne fait que commencer mais j’ai déjà la ferme résolution de le vivre comme une vraie québécoise.


Mariona Graupera Clivillé